retour à la 2me étape

Kapidag:    la méconnue.

 

Sauvage ...

Et orageuse ...

 

pendant trois jours on va lui tourner autour ....

 
 

Agence Finikéenne de Presse
La seule
AFP en langue française de Finike

De note correspondant permanent, quelque par en mer…

Iyigtler, le 28 juin 2009.
Bonjour à tous…

On a donc fait cap sur le Sud de la mer de Marmara, entre Esenkoy et la presque île de Kapidağ.

 

 
 

Partant de Bandirma, vers Pasa Limani, on contourne la partie Est et Nord de la presqu'île de Kapidag.

Très méconnue, elle possèdent de nombreux ports de grande pêche, les chalutiers de haute mer sillonnant toute la méditerranée et la Mer Noire. Curieusement, tous ces ports aménagés récemment, ne sont recensés sur aucun guide, et peu renseignés sur les cartes

Ci contre: Kestanelik, trouvé grâce à Google Earth

 
     
 
  • 3ème étape, on contourne la presque île de Kapidağ, en ciblant le mouillage à l’ouest de l’île de Paşa Limani, un véritable lagon. Alors, oui, c’est un lagon, bien protégé de tout les vents sauf de Sud Ouest, mais on est juillet, et le régime normal est de Nord Est. Pourtant, je me souvient avoir entendu Dominique de La Mutine (çà c’est un nom pour un yacht, non ???), me dire qu’il avait dû dégager en urgence de nuit, et que çà n’avait pas été très facile, parce que les passes du lagon sont plutôt caillouteuses et peu balisée. A l’époque, pas balisées du tout, en fait, aujourd’hui, c’est fait.
  •  

    Ce qui me donne l’occasion de relever, une gaminerie de Rod Heckel, sur cette passe. Roddy est capable d’humour ravageur au 2ème degré : il note qu’une invraisemblable erreur, se serait produite sur les sacro saintes cartes de l’amirauté britannique. Un récif immergé, annoncé à 2,7 mètres sous l’eau, le serait beaucoup moins, voir moins de 1,5 mètre, puisque son bateau, Tetranora, serait monté dessus par temps calme… ‘Incredible, no ???’, une erreur des cartes de l’amirauté !!!

    "Bloody caillou… "

         
     

     

    • Tout ceci, faisant, que voyant monter l’orage, on a dégagé vite fait du mouillage forain, pour gagner le nouveau port à l’Est de l’île voisine : Avsar.
    • On a été accompagnés pour ce parcours par deux dauphins facétieux, qui nous ont suivi jusqu’aux passes d’entrée du port.
    • Là aussi, on avait trouvé ce port par Google Earth. Rien sur les cartes, rien sur les guides.
    • Contrairement à nos amis de Aquarellia, on a été bien accueillis par les pêcheurs. Il y a de la place, nous étions quatre voiliers, tous francophones !!!